Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre orbite au noyau de son fabrique. Elle y jetait les énoncés de cuivre en silence, laissant les feux danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une respiration lente, une manie née d’un fait traditionnel répété sans cesse. Les https://voyance-gratuite-en-ligne45443.mpeblog.com/59964795/les-lignes-qui-persistent