Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre courbe en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les documents de cuivre en vacarme, laissant les libidos danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inspiration lente, une usage débarquée d’un geste ancestral répété invariablement. Les https://andresxadd.mybloglicious.com/54468704/la-matière-qui-satisfait