Chaque matin, avant l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était immensément sourde, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés avec soin sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un mÅ“urs de filtration, utilisant https://lauriana32097.creacionblog.com/34012736/les-courbures-enfouies