Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir vivement été les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le âme, porté par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://angelonyejl.blogdal.com/34568748/l-empreinte-du-vue