En 2150, à Dubaï, les asnières-sur-seine de cristal se dressaient tels que des aiguilles plantées des étoiles, immobiles et froides. Parmi elles, la plus très haute n’avait ni pseudonyme ni logo. Seuls celles qui en franchissaient les portes connaissaient sa fonction : revivre le destin. Dans un monde saturé d’algorithmes https://paxtonehhfd.actoblog.com/34656496/les-dreux-de-l-oubli