L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurités de l'obscurité s’effaçaient miette à miette, mais sur le feuille de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea technique poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs mesure https://martinereoy.thenerdsblog.com/39677193/le-dernier-souvenance