Sur l’île unique d’Ankhyra, baignée par la clarté dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au maximum de la falaise, étudiant l’horizon césarien. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des creux de la vague, ce murmure marin que seule elle pouvait donner la préférence. Ces mélodies hétéroclites, https://griffinpspjc.blogars.com/32752680/le-motet-des-sirènes-muettes