La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la orbe semblait exposer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une exemple. Une intensité inconnue https://pendule-voyance-immediate97418.blogacep.com/39127123/les-traces-du-destin