Dans la Constantinople du XIIe siècle, où les coupoles dorées des églises reflétaient les meilleurs rayons du soleil, un homme du patronyme d’Argyropoulos était devenu une devinette que aucun ne pouvait ignorer. Il prétendait enfermer le destin dans ses desseins et, bien qu’aucune origine scientifique ne puisse être nouvelle, ses https://arthurgwlbo.ziblogs.com/33964290/l-éclat-des-masques-dissimulés