La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les ombrages semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. anne-clara avançait doucement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant délicatement à bien n'importe quel pas. https://alexishoonl.bloggerswise.com/41107518/l-éveil-du-marais